À partir de 2026, la facturation électronique devient obligatoire pour toutes les entreprises assujetties à la TVA. Cette réforme ne se limite pas à un simple changement de format : elle impose aussi de repenser les outils et les canaux de transmission. Une question s’impose dès maintenant : comment bien choisir sa plateforme de dématérialisation partenaire (PDP) ?
Pourquoi choisir une plateforme de dématérialisation partenaire devient incontournable ?
Le passage à la facturation électronique n’est plus une perspective lointaine. Avec une entrée en vigueur progressive entre le 1er septembre 2026 (réception obligatoire) et le 1er septembre 2027 (émission obligatoire pour toutes les tailles d’entreprises), la réforme bouleverse les pratiques établies de gestion et de transmission des factures. Elle concerne toutes les entreprises assujetties à la TVA, quelle que soit leur taille : PME, ETI, micro-entreprises, auto-entrepreneurs compris.
Le 15 octobre 2024, un changement majeur a été annoncé : le Portail Public de Facturation (PPF) ne servira plus de canal d’envoi ou de réception de factures. Son rôle est désormais recentré sur la gestion de l’annuaire des entreprises et la collecte des données fiscales à destination de l’administration. Concrètement, cela signifie que chaque entreprise devra s’appuyer, dès l’entrée en vigueur de la réforme, sur une plateforme de dématérialisation partenaire (PDP) ou un opérateur de dématérialisation (OD) pour émettre, recevoir et traiter ses factures électroniques.

Comprendre la réforme de la facture électronique
Facture électronique : de quoi parle-t-on ?
Contrairement à une facture dématérialisée classique, qui peut simplement exister en PDF ou être envoyée par e-mail, une facture électronique est émise, transmise et reçue selon un format structuré (comme Factur-X, UBL ou CII), lisible par les systèmes informatiques et conforme aux normes fixées par l’administration. Elle permet une automatisation complète du traitement comptable, du pré-remplissage des déclarations de TVA au suivi des paiements.
Ce nouveau format vise à simplifier les processus de facturation, à améliorer la qualité des données transmises, et à sécuriser les échanges entre entreprises. Il s’inscrit dans une logique de dématérialisation avancée, où chaque facture devient un document numérique interopérable, traçable et exploitable par différents outils de gestion.
Une obligation progressive à partir de septembre 2026
Initialement prévue pour 2024, la réforme a été reportée afin de laisser aux entreprises le temps de s’adapter. Le calendrier officiel, annoncé par la DGFIP, prévoit désormais deux échéances majeures :
- À partir du 1er septembre 2026, toutes les entreprises assujetties à la TVA devront être capables de recevoir des factures électroniques ;
- À partir du 1er septembre 2027, elles devront également être en mesure d’en émettre à leur tour, via une plateforme de dématérialisation partenaire (PDP) ou un opérateur de dématérialisation (OD).
Le rythme d’obligation dépend de la taille de l’entreprise. Les grandes entreprises sont déjà concernées, tandis que les PME, micro-entreprises et auto-entrepreneurs bénéficieront d’un délai supplémentaire jusqu’à 2027 pour se mettre en conformité.
Les entreprises concernées par la réforme
La réforme concerne l’ensemble des entreprises assujetties à la TVA, y compris celles qui réalisent uniquement des ventes en France. Cela inclut toutes les structures exerçant une activité économique, quelle que soit leur forme juridique ou leur régime fiscal.
Les petites et moyennes entreprises, souvent peu équipées pour ce type de transformation numérique, devront anticiper l’impact sur leurs outils internes : logiciels de facturation, solutions comptables, plateformes de gestion documentaire. Un accompagnement ou une mise à jour des systèmes pourra s’avérer nécessaire pour répondre aux exigences de la réforme.
Les bases du système à venir
Facturation électronique, e-reporting et TVA : comment tout s’articule ?
La réforme ne se limite pas à la facturation électronique entre entreprises. Elle introduit également un dispositif de e-reporting, qui consiste à transmettre à l’administration certaines données issues de transactions ne donnant pas lieu à une facture électronique obligatoire (notamment en B2C ou à l’international). Ce système renforce le contrôle de la TVA et permet une détection plus rapide des incohérences déclaratives.
Chaque opération devra donc être soit facturée électroniquement, soit reportée via ce mécanisme. C’est pourquoi il est indispensable de disposer d’un outil — PDP ou OD — capable de gérer ces deux volets : émission des factures et transmission des données fiscales.
Plateformes, PDP et portail public : qui fait quoi ?
Le fonctionnement repose sur une architecture dite en « Y », dans laquelle trois types d’acteurs interagissent :
- Les plateformes de dématérialisation partenaires (PDP), habilitées par l’administration à transmettre les données de facturation,
- Les opérateurs de dématérialisation (OD), qui assurent des services de gestion sans être immatriculés,
- Le Portail Public de Facturation (PPF), qui, depuis l’annonce du 15 octobre 2024, ne traite plus les factures, mais se concentre sur l’annuaire des entreprises et le rôle de concentrateur des données fiscales.
Cette évolution signifie que le PPF ne peut plus être utilisé comme canal unique de transmission : les entreprises devront obligatoirement passer par une PDP ou un OD pour envoyer et recevoir des factures électroniques.
Transmission, réception, émission : un nouveau processus à maîtriser
L’entrée dans le dispositif implique une transformation complète des processus. Une facture émise devra être générée au format structuré, transmise à la PDP ou à l’OD, puis acheminée vers le destinataire via sa propre plateforme. En parallèle, une copie des données de facturation sera envoyée à l’administration pour exploitation fiscale.
En réception, l’entreprise devra également disposer d’un système capable de lire, traiter et intégrer ces factures électroniques dans ses outils métiers (comptabilité, ERP, gestion commerciale). Ce flux entrant et sortant sera désormais entièrement numérique, sécurisé, et normalisé.
Les plateformes de dématérialisation partenaires (PDP)
Qu’est-ce qu’une PDP ?
Une plateforme de dématérialisation partenaire (PDP) est une solution technique et réglementée, habilitée par la Direction générale des finances publiques (DGFIP). Son rôle est de transmettre les factures électroniques ainsi que les données de facturation, de paiement et de transaction à l’administration fiscale. Cette mission implique des exigences strictes en matière de sécurité, de fiabilité et de traçabilité des flux.
Contrairement aux plateformes non immatriculées, seules les PDP sont autorisées à transmettre directement les données fiscales exigées dans le cadre du e-reporting et du suivi de la TVA. Elles constituent ainsi un pilier du nouveau dispositif de facturation électronique.
Un statut réglementé par l’administration
Pour être reconnue comme PDP, une plateforme doit faire l’objet d’une immatriculation officielle délivrée par la DGFIP, valable trois ans et renouvelable. Ce processus implique une évaluation technique et organisationnelle rigoureuse : infrastructures sécurisées, conformité aux normes, continuité de service, capacité à traiter les formats imposés (Factur-X, UBL, CII), gestion de l’archivage, etc.
La liste des PDP immatriculées est publique et régulièrement mise à jour sur le site impots.gouv.fr. Elle permet aux entreprises de vérifier qu’un prestataire est bien reconnu par l’État pour opérer dans le cadre de la réforme.
Services proposés par une PDP
Une PDP ne se contente pas d’assurer la transmission des factures. Elle propose souvent une gamme de services complémentaires destinés à simplifier la gestion quotidienne :
- Conversion automatique des factures vers les formats réglementaires ;
- Contrôle de cohérence et de validité des informations ;
- Interface de suivi des envois, alertes, traitements en erreur ;
- Connexions avec les logiciels comptables ou ERP via API ;
- Archivage électronique sécurisé, selon les obligations légales.
Certains prestataires vont plus loin, en ajoutant des fonctionnalités d’analyse, de tableau de bord, ou encore de reporting automatisé pour les déclarations fiscales.
PDP vs opérateur de dématérialisation : quelles différences ?
Un opérateur de dématérialisation (OD) peut proposer un service équivalent en apparence, mais sans être immatriculé par la DGFIP. Il joue alors un rôle d’intermédiaire technique, sans pouvoir transmettre directement les données à l’administration. En pratique, un OD devra s’appuyer sur une PDP pour garantir la conformité réglementaire de la facturation électronique.
La distinction est essentielle : si une entreprise choisit un OD comme prestataire, elle doit s’assurer que celui-ci est connecté à une PDP reconnue. À défaut, elle ne pourra pas répondre aux obligations liées à la réforme.
Un rôle central dans les processus de facturation
Les plateformes de dématérialisation partenaires s’insèrent désormais au cœur des circuits de traitement des factures, à la fois en émission et en réception. Elles assurent l’échange structuré des données entre les entreprises (clients, fournisseurs), et envoient simultanément les éléments fiscaux attendus à l’administration. Elles remplacent donc les méthodes traditionnelles (papier, PDF, mail) par un dispositif plus encadré et automatisé.
Ce rôle central impose un haut niveau de fiabilité et de compatibilité avec l’écosystème des outils de gestion déjà en place. Pour les entreprises, le choix de la PDP ne doit donc pas se faire à la légère.
Choisir sa PDP : les bons critères
Conformité légale : le critère de base
Avant toute chose, il est essentiel de vérifier que la plateforme envisagée figure bien dans la liste officielle des PDP immatriculées publiée par la DGFIP. Seules ces plateformes sont autorisées à transmettre les données de facturation directement à l’administration, et à assurer la conformité avec la réforme de la facturation électronique.
Cette immatriculation garantit notamment que la PDP respecte les exigences en matière de sécurité, de confidentialité, de disponibilité des services, et de traitement des factures électroniques selon les formats obligatoires.
Formats acceptés : Factur-X, UBL, CII
Le choix d’une PDP doit aussi se faire en fonction de sa capacité à émettre et recevoir des factures dans les formats structurés imposés par la réforme. Les trois formats actuellement reconnus sont Factur-X, UBL et CII. Une bonne plateforme saura adapter vos fichiers de facturation ou les convertir automatiquement.
Il est également important de s’assurer que la plateforme respecte les règles de validité des données, pour éviter les rejets lors de la transmission à vos clients ou à l’administration.
Interopérabilité avec vos outils de gestion
Une PDP ne fonctionne pas en silo. Elle doit pouvoir s’interfacer facilement avec vos outils existants : logiciel de facturation, ERP, CRM, outils comptables… L’objectif est de garantir un processus fluide, sans ressaisie ni rupture de flux.
Certains prestataires proposent des connecteurs natifs avec les principaux logiciels du marché (Sage, EBP, etc.), ou des APIs pour une intégration sur mesure. Ce point est d’autant plus crucial pour les entreprises de taille intermédiaire ou les PME qui traitent un volume important de factures.
Sécurité des données et accès aux archives
La sécurité est un autre critère incontournable. La PDP doit garantir la protection des données sensibles (TVA, identité des clients, montants…) grâce à des protocoles de chiffrement, d’authentification forte et de journalisation des accès.
Elle doit aussi proposer un archivage électronique conforme aux exigences légales, avec accès aux documents pendant toute leur durée de conservation (10 ans dans la plupart des cas). Cela facilite les contrôles et les audits, tout en assurant la validité juridique des factures conservées.
Accompagnement et services complémentaires
Enfin, un critère souvent sous-estimé concerne l’accompagnement proposé par le prestataire. Certaines plateformes offrent un simple service technique, tandis que d’autres proposent une vraie démarche de mise en place et de formation : audit préalable, assistance au paramétrage, tutoriels, support client réactif, etc.
Ce type d’accompagnement peut faire la différence, notamment pour les micro-entreprises ou auto-entrepreneurs, qui disposent rarement de ressources internes pour gérer ces projets complexes. D’autant plus que la période de transition vers la facturation électronique sera courte à partir de 2026.
Impacts concrets pour les entreprises
Quels changements dans vos processus de facturation ?
La mise en œuvre de la facturation électronique modifie en profondeur les pratiques internes des entreprises. L’émission d’une facture ne consiste plus à générer un PDF et à l’envoyer par e-mail : elle doit désormais passer par une plateforme, être au bon format, et contenir les données structurées exigées par l’administration.
De même, la réception de factures provenant de fournisseurs ne se fait plus par courrier ou par voie électronique classique. Elle transite via une PDP ou un OD, qui assure la conformité du document avant de l’intégrer dans les systèmes internes (comptabilité, ERP, gestion commerciale). Cela impose une révision complète des processus existants.
Quels bénéfices pour les entreprises ?
Malgré la complexité apparente de la réforme, les entreprises peuvent en tirer plusieurs bénéfices :
- Réduction des délais de traitement, grâce à l’automatisation ;
- Moins d’erreurs ou de doublons dans la saisie des factures ;
- Amélioration de la traçabilité des opérations ;
- Accès facilité à l’information, pour les clients comme pour l’administration.
Le pré-remplissage des déclarations de TVA grâce aux données issues des plateformes de dématérialisation partenaires représente également un gain de temps et un gage de fiabilité.
Des contraintes à anticiper dès maintenant
Toutefois, la réforme n’est pas sans contraintes. Elle suppose :
- Une mise à jour ou un changement d’outil de facturation ;
- Une formation des équipes ;
- Parfois, un investissement financier initial, notamment pour les TPE ou micro-entreprises.
Le fait de devoir choisir une PDP ou un OD impose également de comparer plusieurs prestataires, de s’assurer de leur conformité, et de prévoir un planning d’intégration technique. Mieux vaut anticiper, plutôt que de subir une mise en conformité en urgence.
Calendrier de mise en place à respecter
Comme rappelé plus haut, deux échéances structurent le calendrier :
- 1er septembre 2026 : obligation pour toutes les entreprises assujetties à la TVA de recevoir des factures électroniques ;
- 1er septembre 2027 : obligation d’en émettre également, quelle que soit la taille de l’entreprise.
Ce décalage offre une période transitoire utile pour tester et déployer la solution choisie. Toutefois, certaines grandes entreprises anticipent déjà cette étape pour ne pas perturber leur activité.
Réception des factures clients : comment ça se passe avec une PDP ?
Lorsqu’une entreprise reçoit une facture via sa plateforme de dématérialisation partenaire, celle-ci vérifie d’abord la validité du document (format, mentions obligatoires, identité de l’émetteur). Elle assure ensuite son acheminement vers les systèmes de l’entreprise (gestion comptable, outil de validation, etc.).
La PDP joue donc un rôle essentiel non seulement dans la transmission, mais aussi dans la sécurisation et le traitement des factures, réduisant ainsi les risques d’erreurs ou de litiges avec les clients et fournisseurs.
Cas particuliers et profils d’entreprise
Micro-entreprises, auto-entrepreneurs : quelles obligations ?
Contrairement à une idée reçue, les micro-entreprises et auto-entrepreneurs sont bien concernés par la réforme de la facturation électronique, dès lors qu’ils sont assujettis à la TVA. Comme les autres structures, ils devront être en mesure de recevoir des factures électroniques à partir du 1er septembre 2026, puis de les émettre à compter de 2027.
Toutefois, la volumétrie réduite de leurs factures et l’absence d’infrastructure dédiée rendent la situation plus sensible. Pour ces profils, le choix d’un opérateur de dématérialisation (OD) ou d’une PDP simple, avec accompagnement minimaliste, peut suffire. Certains prestataires prévoient des offres adaptées à ce public.
PME, ETI : vers une généralisation encadrée
Les petites et moyennes entreprises, ainsi que les entreprises de taille intermédiaire, font face à des enjeux plus complexes. Leur activité implique souvent un volume important de factures, des processus internes établis, et des intégrations multiples avec des outils métiers.
Pour elles, la transition vers une plateforme de dématérialisation partenaire nécessite une vraie stratégie de mise en place : audit des pratiques actuelles, choix d’un prestataire, configuration technique, formation des équipes… Ces structures peuvent aussi tirer profit des fonctionnalités avancées de certaines PDP : gestion multi-entités, pilotage, reporting, etc.
Activité en B2B ou B2G : quel impact sur vos factures ?
La réforme s’applique aux échanges entre entreprises du secteur privé (B2B) ainsi qu’aux relations avec les entités publiques (B2G, business to government). Dans ce second cas, certaines obligations existaient déjà via la plateforme Chorus Pro, mais elles seront désormais alignées avec le dispositif général.
La plateforme de dématérialisation partenaire utilisée par l’entreprise devra être capable de gérer ces deux types de flux, en s’interfaçant éventuellement avec les systèmes spécifiques du secteur public. Là encore, la compatibilité technique devient un critère de choix important.
Les clients et fournisseurs : des choix interdépendants
Une entreprise ne peut plus fonctionner de manière isolée dans la nouvelle logique de la facturation électronique. Le choix d’une PDP ou d’un OD influencera directement la façon dont elle échange avec ses clients et ses fournisseurs.
Par exemple, si un client utilise une PDP différente, il faudra que les deux plateformes puissent dialoguer entre elles via l’annuaire central géré par le Portail Public de Facturation. Une interopérabilité bien gérée garantit la fluidité des échanges et évite les erreurs de transmission.
Se préparer dès maintenant
État des lieux et audit de votre système actuel
La première étape pour toute entreprise consiste à évaluer son système de facturation actuel. Quels sont les outils utilisés ? Sont-ils compatibles avec les formats requis (Factur-X, UBL, CII) ? Existe-t-il déjà une solution de dématérialisation en place, ou faut-il repartir de zéro ?
Cet audit permet d’identifier les éventuelles lacunes techniques ou organisationnelles. Il est également l’occasion de faire le point sur les besoins spécifiques de l’entreprise, selon son activité, son nombre de factures, la diversité de ses clients, ou encore son mode de gestion (interne, externalisé…).
Former les équipes et structurer le projet
Passer à la facturation électronique implique aussi un volet humain. Les utilisateurs (comptabilité, gestion, direction, etc.) devront comprendre le fonctionnement des nouvelles plateformes, les enjeux de transmission des données, et les impacts sur leur quotidien.
Une formation ciblée, accompagnée d’un planning de déploiement clair, permet d’éviter les résistances au changement. Certaines plateformes de dématérialisation partenaires proposent des ressources pédagogiques, voire un accompagnement personnalisé lors de la mise en place.
Tester, choisir et intégrer sa PDP
Une fois le périmètre défini, il est temps de sélectionner la PDP ou l’OD le mieux adapté. Cela passe par :
- La consultation de la liste des plateformes immatriculées ;
- La comparaison des services proposés (traitement, archivage, support) ;
- La réalisation de tests techniques, si nécessaire, pour valider l’intégration avec les outils existants.
Certains prestataires proposent une phase pilote, permettant de vérifier le bon fonctionnement avant un déploiement complet. Une transition progressive peut alors être planifiée, en fonction du calendrier réglementaire.
S’entourer d’un prestataire de confiance
Enfin, au-delà de la dimension technique, le choix d’un prestataire repose aussi sur des critères relationnels : qualité du service client, capacité à accompagner dans la durée, évolutivité de la solution, conformité aux évolutions futures de la réforme.
Une PDP devient un partenaire dans le suivi quotidien de la facturation électronique. Il contribue à la sécurité, à la lisibilité et à l’efficacité des processus, tout en assurant la transmission fluide des données fiscales à l’administration.
Audit en ligne et checklist !
La réforme de la facturation électronique marque une transformation majeure pour les entreprises assujetties à la TVA. À partir de septembre 2026, l’ensemble des échanges de factures devra s’effectuer selon un cadre strict, sécurisé et structuré, impliquant l’utilisation obligatoire d’une PDP ou d’un opérateur de dématérialisation.
Face à la réduction du rôle du Portail Public de Facturation, chaque structure doit désormais s’interroger sur ses besoins, ses outils et les solutions adaptées à son fonctionnement. Qu’il s’agisse d’un auto-entrepreneur, d’une PME, ou d’une entreprise de taille intermédiaire, le choix d’un prestataire de confiance constitue une étape stratégique.
S’informer, comparer, tester, planifier : autant d’actions à engager sans attendre pour aborder la réforme avec sérénité. Le bon partenaire technologique vous aidera à transformer une obligation réglementaire en véritable levier de simplification et d’optimisation.
Rendez-vous sur notre page dédiée à la facture électronique pour vous préparer : https://www.parinet.fr/facture-electronique/